Dans mon carnet, en mai, des traits. Beaucoup de traits au feutre noir, épais. C’est comme une petite recherche graphique au milieu de la forêt ou au pied des montagnes.




Notre rencontre mensuelle était franco-allemande. Installée du côté de la place St Etienne j’essaye de capter les mouvements de la course. Pas facile, j’invente. Pour échapper un peu au bruit je découvre un bel endroit au fond de la rue du ciel, avant de grimper dans la tourelle du FEC.

Je commence un leporello, carnet accordéon, tout spécialement fabriqué pour illustrer quelques jours de vacances et de retrouvailles en famille. C’est une belle parenthèse, la « mif à Ténérife ». Je profite de chaque instant et dès que c’est possible je sors mon carnet pour y croquer vite fait quelques bribes de souvenirs.









Je ne sais pas comment je me débrouille pour que mes stylos à encre coulent… J’en ai plein les doigts à chaque fois.
Je compose alors avec les taches et ça me va aussi !

Parfois je retourne en ville…


super , toujours très vivant ,j’adore!!! à
bientôt Odile